lundi 16 décembre 2019

Elastix est un logiciel libre disponible sous licence GPLv2 développé par Palosanto. Il tourne sur un noyau CentOS. Il est entièrement libre et toutes les versions sont disponibles sans limitation de fonctionnalité. C’est un système de communication unifié qui gère l’ensemble des besoins de communication d’une entreprise. Il possède des fonctionnalités telles que la VOIP (passer des communications téléphoniques sur le réseau IP) la messagerie électronique (comme Yahoo mail) et la messagerie instantanée le fax etc...  La VoIP est la technologie qui permet d'utiliser Internet comme moyen de transmission pour les communications vocales. Le protocole Internet (IP) a été conçu à l’origine pour la gestionde réseaux de données puis après son succès, le protocole a été adapté à la gestion de la voix en transformant et transmettant l’information en paquet de données IP. Depuis sa création, desprogrès énormes ont été réalisés et maintenant VoIP bénéficie d'une popularité répandue en tant que solution de rechange à la téléphonie traditionnelle dans les maisons et les entreprises.
La VoIP est à présent disponible sur de nombreux smartphones, ordinateurs et tablettes 
Cette technologie est complémentaire de la téléphonie sur IP (« ToIP » pour Telephony over
Internet Protocol). La ToIP concerne les fonctions réalisées par un commutateur téléphonique.
PABX


dimanche 15 décembre 2019

Eliakim Ayagir biographie


Eliakim Ayagir biographie

Eliakim Ayagir, artiste dessinateur et peintre ; quelque fois nommé ‘petit dessin’.Congolais de la RDC, ne le 31 décembre 1996, a Bukavu dans la province du Sud‐Kivu. fils de Vincent BALOLA Y. et de Zoé J.R (Seule sa maman est de nationalité Burundaise) ; appart le dessin qui  a, a grande partie façonné sa renommée artistique ; il possède d’autres talents à reconnaitre : slam, poésie, et la dance. 
Il s’accroche trop au dessin a l’âge de dix ans, pendant qu’il fait sa cinquième année du primaire. Pour l’artiste, le talent est inné, car au départ partage avec ses trois frères qui sont  aussi dessinateurs. Encouragés par leur mère qui se faisait plaisir en admirant les dessins de ses propres fils. Mais malheureusement contestés par leur père qui n’avait point le cœur pour l’art du dessin à l’époque. Ses trois frères finirons par seder  à la menace de leur père et abandonner le dessin. Tellement talentueux et passionné, Eliakim va continuer  le dessin a l’insu et contre le gré de son père.
A 11 ans, il sera obligé à changer d’établissement pour de raisons peu  connues. Ce changement d’établissement est pour lui un nouveau départ pour une aventure d’accrochement au dessin et a la peinture. Au cours de cette année, il rencontre six autres dessinateurs avec qui il va renforcer ses capacités dans l’art qui le passionne tant.
Deux ans plus tard, déjà au secondaire, il participe à un concours scolaire de dessin, ou il remporta le troisième titre. 
Âgé de seulement quinze ans, il fit un progrès  remarquable, en occupant la deuxième place à l’échelle provinciale. Battu par un dessinateur du nom de : Mbuyi  M. en 2011 dans sa ville natale en province du Sud‐Kivu. Cette deuxième place est à ses yeux un échec avec succès  et va nourrir son esprit d’un courage immense.
Et voila une année après, en 2012, il remporte le premier titre du concours de dessin, organisé par l’ADDP (Association pour le Développement Dynamique  provincial), grâce  à son fameux B.D ‘Soldat Congolais’.   Un concours dans lequel son père assiste discrètement, ébouillie par la présentation merveilleuse de son fils, il commença des lors à encourager et à soutenir ce dernier. 
Ce titre de numéro un de la province va motive Eliakim davantage et lui permet d’être sélectionné dans d’autres grands  concours. Une fois, il va participer au concours du club  de la RFI à Bukavu et finira par en devenir membre permanant. Durant son parcours au sein du club de la RFI, il va travailler avec un manager : Antonio Wenzio. 
Avec son titre de  champion au niveau provincial, marié à une considération à l’échelle nationale, Eliakim sera dorénavant sollicité pour travailler avec différentes organisation artistiques  s’occupant du dessin au cercle national qu’international.
Il adhère en  2013 l’association New Flight (NF). Propulsé par cette association(NF) dans ses présentations et expositions dans plusieurs festivals. Et travaille sur un autre projet avec  le Bédéiste : Michael  MPENDWA, sur la B.D « Le Fabuleux Lumumba », une B.D qui fera du succès au niveau national et international.
 En 2015, il intègre l’organisation  «  F4A » Future For All, une structure sous tutelle de la MONUSCO              pour la consolidation de  la paix dans le Sud‐Kivu. lors   d’une conférence   à Bukavu  sous  le thème  ‘’partenariat  pour  la paix‐dignité   pour tous ‘’ , le21 septembre   à l’occasion de la  journée internationale  de  la  paix.
Il  est  aussi, la même année classé  dans le staff de la structure ‘’SMART  HOUSE ‘’ ; une organisation culturelle, réputée pour l’organisation des festivals dans la province du Sud‐Kivu. Dont il acquit le poste du représentant   dans le   département  de dessin.          
Convoité par une multitude d’associations et organisations, telles que : BYAC (Bukavu Youth Action  Center), YAF (Youth Action Foundation)… il va accéder à la  requête bien fondée de  l’Alliance Française de Bukavu(AFB) pour une période de deux ans.
En 2016, il est nominé dans le concours intitulé « Libre Ensemble » de la Francophonie, sous le parrainage de Espoir MURHULA (un activiste des Droits de l’Homme). Pour lui (Eliakim), ce concours est une nouvelle expérience d’enchainer succès après succès.
Sous tutelle de HCR, il va participer à un autre concours regroupant plusieurs autres  dessinateurs d’Afrique. Grace a son talent et à la collaboration de son manager belge (Guillaume Lambard) il est retenu comme artiste représentant de la RDC. Des lors, il commence à faire remarquer sur nombreux de ses dessins, un slogan qui dit : ‘’ peu importe le niveau de l’artiste, ce qui compte c’est sa chance’’.
Dans un autre projet de HCR, un projet visant à encadrer les réfugiées dans différents camps, Eliakim fait partie d’une académie  composée de treize artistes de différents pays. Avec qui il a effectué de nombreux voyages pour visiter les refugiés. Rwanda, Burundi, Uganda, Kenya,  Congo‐Brazza,
Cameroun,  Togo, Zimbabwe. Et prévoit de continuer l’aventure pour le Benin, Mali, Gabon, et le Burkina‐Faso 

Il est aussi membre  de l’association  CODE B’ART, une plateforme d’artistes décorateurs et peintres a BUKAVU.
A la même époque, il est engagé au sein de CLAC, une bibliothèque de Bukavu en partenariat avec YAF ; pour l’encadrement et la formation des enfants pendants les vacances. Retenu comme unique créateur et concepteur des B.D.
 IL a également participé au festival universitaire organisé par l’UCB (Université Catholique de Bukavu), après une présentation en collaboration avec Archimède, il sera consacrer, artiste principal de son
Université.
En  2017, il fait éruption dans un festival organisé à l’ occasion de la journée internationale de la femme.
Un festival chapeauté par les dames influentes de la ville de Bukavu.
En Avril, son manager JOE‐POP Rudahindwa lui organise une exposition, à l’Hôtel Panorama de Bukavu.
Il va y réaliser en place une  vente de quinze tableaux sur trente‐cinq.
Le 24 décembre 2017, lors du concert de la star internationale Fally IPUPA, il présente un tableau portrait de FALLY. Un concert managé par Sultan SULEIMANI le patron de S.S Entreprise.
 En 2018, le 24 mars lors de la célébration du mois  de la femme organisée par la communauté des
Etudiants Congolais de l’Université  Espoir d’Afrique au Burundi (CECUEAB). Il présente un dessin live de
BOB Marley en l’envers en une durée de six minutes.
Le 7 juillet 2018, lors du lancement officiel de DI‐MODA FASHIONS au Burundi, il surprend le public et toutes les stars  présents dans la cérémonie en offrant des dessins aux stars invitées de la soirée : BIG
FIZZO du Burundi, INNOS’B de la RDC, LBG CAPPUCINO de la RDC, CHRISTIAN BELLA  congolais vivant en
Tanzanie, CYNTHIA KAPASHA une journaliste de Kinshasa, et le patriarche de la maison DI‐MODA :
RAOUL MACHUPE un homme d’affaires congolais  vivant au JAPON.
ELIAKIM demeure jusqu'à présent le maitre fondateur de CREMO D’ART (Créer un Monde d’Artistes), une association regorgeant des artistes multiformes ; créée depuis 2013. CREMOD’ART est représentée        dans plusieurs provinces de la RDC, mais aussi dans quelques pays d’Afrique.

                

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